Souvent mal aimé, le vin rosé a pourtant des qualités qui méritent d’être reconnues par tous. Voici 5 choses à connaitre sur ce vin qui pourraient vous inciter à lui donner une nouvelle chance.
Le vin rosé peut être délicieux !
Ce type de vin trimballe une étiquette de mauvais vin. Cependant, tous les rosés ne sont pas bas de gamme, et existe de très grands rosés, de qualité et de puissance égale aux vins rouges et blancs.
Alors que la production du rosé est très technique, nombreux vignerons bâclent leur travail pour mettre à la vente rapidement leurs bouteilles. Cet empressement a pour effet une qualité souvent basse, d’où la mauvaise réputation de ce qui peut être très bon.
Pour avoir un bon produit, tournez-vous vers les fournisseurs qui priment la qualité à la mise en vente rapide, comme Château Léoube qui produit un vin Rosé de Provence haut de gamme.
Ce n’est pas un mélange de vin rouge et blanc
Contrairement à la croyance populaire, le rosé ne résulte pas d’un mélange de rouge et de blanc, ou de rouge et d’un peu d’eau. Sa couleur rosé ne s’obtient qu’avec des grappes noires, la différence avec le vin rouge se situe alors dans la durée de macération.
Pour le rosé, ce contact avec la peau durera quelques heures, d’où sa couleur claire, alors que pour le rouge, la macération s’étale sur plusieurs jours.
Un bon rosé n’est jamais trop frais
On consomme souvent le rosé au bord d’une piscine et sur une terrasse en été. Avec la chaleur, une écrasante majorité réclame un vin très frais, or ça n’est pas la meilleure façon de le consommer. Avec ce vin, trop de fraîcheur n’est jamais bon.
Dans l’idéal, un aussi bon vin rosé qu’un Château Léoube se consomme à une température idoine entre 12 et 14°C pour en tirer un maximum de saveur.
Le rosé, un vin à boire jeune, mais à garder en cave !
Si le rosé est un vin que l’on boit jeune (par rapport aux autres), il se garde aussi !Il ne sera jamais centenaire, mais certains vins durent une bonne petite dizaine d’année sans problème.
Une erreur que les consommateurs font souvent – et qui est en partie responsable de sa mauvaise réputation – est de boire un rosé mis en bouteille à peine quelques mois auparavant. En faisant ce choix, vous buvez un vin encore compressé et qui n’est donc pas encore à son meilleur.
On conseille de garder (au moins en partie) les bouteilles encore 2-3 ans pour leur laisser le temps de s’ouvrir et de se patiner. Vous n’en tirerez que plus de plaisir à les déguster ensuite.
Connaitre le type de vin rosé grâce à sa couleur
Si une couleur foncé n’est pas toujours gage une garantie de qualité, c’est tout de même un bon indice qui aide à reconnaitre le caractère du vin.
Une couleur claire est souvent synonyme de d’arômes doux de cerises, de groseilles ou de fraises. Une couleur plus foncée présente généralement des arômes plus affirmés de mûres ou de d’un mélange de fruit rouge.